Depuis longtemps, je chéris l’idée de partager mes histoires avec le reste du monde et aujourd’hui, je me sens finalement prête à faire ce pas. Je sais que mes mots sont parfois maladroits et que j’ai encore beaucoup à apprendre.
Ça fait plus de deux ans que je travaille sur mon roman « L’Enfant des machines », que je modifie, que j’ajoute ou enlève des passages. Je prévois une autre révision dans les prochains mois, mais en attendant que je puisse dénicher une maison d’édition souhaitant m’épauler dans ce projet, je me suis dit, pourquoi ne pas informer les gens du progrès de mon roman ?
« Alors, comment ça avance ton livre ? » Et bien, toutes les réponses se trouvent ici.
La dernière nouvelle du jour, j’ai pu échanger avec une maison d’édition qui avait lu mon manuscrit, mais avait refusé de le publier pour diverses raisons. Cette entrevue téléphonique m’a éclairé sur la suite : l’édition n’était plus un rêve lointain et impossible et j’avais maintenant en main une liste de problèmes (principalement des incohérences) que présente mon manuscrit. Avec encore beaucoup de travail et de persévérance, mon but serait réalisé. C’était atteignable et c’était les seules paroles que j’avais besoin pour continuer.
Dès ce mois de mai, après l’effervescence d’un voyage prochain et la charge de travail de mon cours à l’université, j’ai bien l’intention de me créer un horaire précis pour retravailler mon livre. À l’automne, j’aimerais pouvoir envoyer une nouvelle version à des maisons d’édition.
Et on croise les doigts pour la suite !